dimanche 26 février 2012

Un grain de sable...

Depuis des années, la vie s'écoulait. Parfois tumultueuse, plutôt épuisante, parfois belle, souvent triste. Mais il y a le regard des autres, l'entourage, les enfants...rien ne peut arrêter la machine. Rien sauf... le grain de sable.

Un jour, un grain de sable se glisse dans les rouages. Au début, ça ralentit juste un peu le rythme, puis ça fait mal. Chaque jour un peu plus... Le grain de sable finit par arrêter la machine.

Il y a trois mois, ma machine s'est arrêtée. Un minuscule grain de sable a envahi ma vie. L'océan de mes peurs a fait place au désert. Libérer l'espace de mon coeur, faire de la place à l'avenir...  Ca devenait urgent. Vital.

Il est des personnes qui ne font que "traverser" nos vies. Dont l'attraction, dont le pouvoir est bien trop grand pour s'y installer. Ce sont des gens que l'on n'oublie jamais. Des grains de sable que l'on enferme à jamais dans notre coeur et que l'on couve jusqu'à la fin des temps. Pour ne pas oublier. Pour se souvenir qu'un jour, on a grandi.

La première fois que j'ai rencontré un "grain de sable", j'avais 24 ans. Je me mariais le lendemain. Ce troubadour a traversé ma vie, deux jours durant. Sa musique a fait exploser mon coeur. A fait couler toute l'eau qui refusait de pleuvoir de mes yeux depuis si longtemps... J'ai su à ce moment que je ne prenais pas le bon chemin. Mais il était tard... j'ai cru qu'il était trop tard pour m'écouter. J'ai pensé à mes engagements. A l'homme que j'allais épouser. Et j'ai fait le pas en avant.

Je ne regrette pas, hein... Petite elfe est née, mon trésor, mon arc en ciel... Je n'ai pas laissé ce premier grain de sable enrayer ma vie et je ne le regrette pas. Même si avec du recul je sens que je ne prépare pas le plus bel avenir possible à mon enfant. J'ai été égoïste, trop peut-être. Ou j'ai manqué de courage.

Le deuxième grain de sable, c'était il y a peu. Cela faisait des mois que je m'oubliais. Que j'étouffais mes peurs, mes désirs, mes besoins. Mon coeur baillonné n'attendait que cela... une oreille attentive. Un âme douce. Une main tendue vers l'avenir comme pour dire "tu peux... avance". De l'amour, d'une certaine façon.

J'ai saisi cette main et accepté de pleurer. D'affirmer mon courage. De redevenir une femme, de ME retrouver.  J'ai fermé les yeux, me suis laissée porter... L'exact inverse que la fois précédente. Pas sûre que ce soit la meilleure solution d'ailleurs... La prochaine fois, je tente le juste milieu. Promis.

Quoi qu'il en soit...Un grain de sable, on ne le retient pas. On en garde la marque, au coeur de soi mais on le laisse être libre. C'est au moment où l'on est capable de dire "pars..." que l'on avance.

Aujourd'hui, j'ai lâché prise. J'ai pris ma vie en main, choisi le courage. Accepté celle qui est en moi. C'est bon d'être de retour.

Et si...si un jour un petit grain de sable trouve mes mots... qu'il ferme les yeux et qu'il entende... du plus profond de mon âme...Merci.

vendredi 24 février 2012

Un blog...


Deux identités
Trois voyages
Quatre rencontres
CINQ ... cinq mois d'existence sur la blogosphère. Aujourd'hui. Je suis encore une bébéblogueuse :)

Aujourd'hui je me rends compte que vous m'avez lue 10400 fois (et juste, j'hallucine!). Vous êtes nombreux, ici ou là, dans ces endroits que j'ai découvert il y a peu de temps. Facebook, Hellocoton.

Parfois vous me faites des cadeaux et mon coeur sourit de tant de gentillesse. Parfois je lis des commentaires qui font briller mes yeux (ça doit être le fait de fixer l'écran de l'ordinateur qui fait pleurer les yeux, hein).

Parfois j'écris ailleurs que chez moi. Publiquement, anonynement... J'ai semé des petits morceaux de moi ici ou là et bientôt je vous raconterai... ce qui fait mon essence, qui je suis et pourquoi j'avance.

Souvent, je me dis que sans ce blog, j'aurais avancé tellement moins vite... Je sais aussi que ma vie serait moins complète. Surtout en ce moment.

Alors voilà... à tous ceux qui me lisent discrètement sans laisser de signe de leur passage, à ceux qui ont un petit truc à dire, une question à poser... aujourd'hui j'ai envie de VOUS laisser la parole.

Et de vous dire...merci.

mardi 21 février 2012

Le bon côté des choses

Je me pose cinq minutes et je réfléchis. C'est vraiment si grave ce qui se passe, là? Ca mérite vraiment une grosse colère ou un caca nerveux à se rouler par terre?

Non mais parce que ma Petite Elfe arrive à l'âge où elle commence à s'affirmer, à dire "NON!" et tout ça... je me pose donc cinq minutes et je me dis que... peut-être, des fois, nos enfants nous ressemblent un peu trop?

En vrai, je ne suis pas une nana capricieuse, mais j'en connais qui le sont chacun ses choix hein. Du genre "Oui il neige, et alors? Oui la route est une patinoire et alors? Je VEUX aller faire les magasins!". Ou bien "C'est peut être d'un manteau en soldes mais je n'en ai que 7 dans la penderie et j'en voulais un auuuuuuuutre!!! #pleurs compulsifs".

Moi, je n'aime pas les caprices. J'ai 27 ans, je suis peut-être -bon, ok, sûrement- barrée mais je pense que mes parents ont réussi un truc dans leur éducation. Le bon côté des choses...

C'est sûr que repérer un pull 3 semaines avant les soldes, s'imaginer dedans et, le jour des soldes arriver ne plus le trouver dans sa taille, ou pire, PAS soldé, c'est ballot. Mais bon... ça sera toujours ça de moins sur le compte en banque. Et puis...y'en a déjà 12 autres dans l'armoire, ça devrait suffir même si l'hiver est particulièrement rigoureux, non?

C'est vrai que partir en week end dans un chouette hôtel, sortir le soir et perdre la clé c'est pas cool. Mais en même temps, passer 5 minutes à chercher le code d'entrée, se rappeler avec des rires étouffés qu'il y a le nombre 69 dedans, entrer et appeler le gérant pour se faire ouvrir la porte, l'air tout penaud mais avec une profonde envie de rire... ça laisse des souvenirs bien plus marquants. Voir le bon côté des choses, c'est remplir son album à souvenirs.

Ok, avoir un accident c'est pas sympa (Non, non, crois-moi sur parole). En revanche, se rendre compte que tu peux compter sur les gens qui t'entourent, pouvoir goûter à la solidarité, voir les gens s'inquiéter de ton état, ça fait du bien. Ca met pleins de sourires dans le coeur, et c'est juste super important.

T'engager dans la vie, te marier, fonder une famille, acheter une maison pour abriter tout ce beau monde et un jour atterir, te dire que cette vie n'est pas la tienne, que tu veux recommencer. Te dire par là même qu'il va falloir vendre la maison, divorcer (ah, le mot tabou), oui, c'est nul, ça donne envie de pleurer, d'étouffer ces horribles pensées, de vouloir disparaître... MAIS se dire qu'une page se tourne et qu'avec son enfant à ses côtés on repart à deux, plus forts...c'est ça, qui fait vraiment avancer.

Non, se faire insulter par un parent d'élève ça ne fait pas plaisir. Par contre, recevoir en réponse des messages de soutien, ça compte infiniment bien plus. On oublie un peu trop souvent, je trouve, que ceux sont les insatisfaits qui parlent le plus mais que si les autres se taisent, c'est qu'ils n'ont rien de négatif à dire.

S'aimer et être séparés (ah, je vois un petit sourire en coin...on a tous vécu ça un jour ou l'autre non? Moi oui, en tout cas) c'est horrible, c'est affreux, c'est frustrant, c'est déprimant, c'est (ah? j'en fais trop? bon, ok  j'arrête!). MAIS, se retrouver c'est magique, c'est mille fois plus fort, c'est vivre à 100 à l'heure, c'est aimer en condensé. C'est beau, tout simplement.

C'est comme reprendre le boulot alors que tu viens de donner naissance à la trois-millionième huitième merveille du monde. Sur le coup, tu angoisses, tu pleures, tu trouves ça trop tôt, trop nul, pas assez préparé, trop injuste... Mais finalement ça donne un goût tout particulier aux retrouvailles du soir, une saveur d'éternité. Le plaisir de plonger dans ces petits yeux, le bonheur de serrer ce petit corps contre le tien. La tétée-bonheur... Toujours voir le bon côté des choses, ça fait briller les yeux.

Et encore...je ne parle pas des peuples qui vivent si loin de nous dans des conditions si difficiles. Si loin de nos petits blogs insignifiants. Si près de la mort et de la maladie. Je n'en parle pas, je serais maladroite. C'est à toi de te faire une idée. De comprendre pourquoi on sait encore sourire là où on meurt de faim alors qu'à Paris on ne sait que faire la trogne du matin au soir (non, non...pas tout le monde, mais une grosse partie des gens, quand même!)

Voilà... pour moi, on peut choisir. Subir, ou voir le bon côté des choses...

mercredi 15 février 2012

Vivre, c'est choisir

A certains moments, comme maintenant, je me pose pour réfléchir mais pas trop quand même à ce qu'est ma vie.
En gros, qu'est-ce-que j'ai fait de bien, ou pas ; ce que j'ai raté ou au contraire réussi. Où m'ont amené mes choix.

Parce que des choix, j'en ai fait, et pas toujours les bons mais je les ai tous assumés.

Je n'ai pas choisi de subir ces agressions mais j'ai choisi de ne pas m'emmurer dans le silence. De dénoncer ce qui n'aurait pas du être. Ce fut le choix le plus important et le plus difficile de toute ma vie. J'ai brisé une famille, j'ai détruit des liens pour ne pas mourir à moi-même.

J'ai choisi d'être instit, après avoir beaucoup douté et des fois je me dis que j'aurais du douter plus, tiens! et je ne regrette presque pas mon choix. Sans mon travail, je ne serais sans doute pas la même. J'ai besoin d'apprendre de mes élèves, d'avancer à leurs côtés et je suis fière de les laisser partir, la larme à l'oeil lorsque juin meurt. Encore plus fière lorsque ça fait plusieurs années que je les suis et que j'apprends que tout se passe bien en sixième. Ce choix, c'était vraiment le bon!
J'ai choisi d'être mère. Et c'est difficile de le dire parce que... je n'ai pas choisi d'avoir un enfant de l'amour. Mais d'avoir un enfant, tout simplement. Je savais depuis toujours que je voulais être mère et j'ai choisi le moment pour le devenir. Ce choix, c'est finalement le SEUL choix définitif  que j'ai eu à faire. C'est aussi le plus beau.

J'ai choisi de me marier et d'acheter une maison avec mon mari. Et je l'assume chaque jour, quel qu'en soit le poids. Demain sera un autre jour...
J'ai choisi de venir à vous, de me raconter et pas un seul instant je n'ai regretté mon choix. Disons que ça m'a aidée à avancer plus vite encore. Je sais aussi qu'un jour... quand je me sentirai mieux... il est probable que le blog prenne fin, tout doucement, pour qu'une nouvelle page de ma vie s'écrive.

Enfin...dans le domaine des choix qui s'imposent à vous sans que vous ne puissiez aller contre...J'ai choisi d'aimer, en dépit de tout et surtout de tous. Ce furent parfois des choix douloureux, mais de ceux que l'on ne regrette pas. Quand on a mal, on est vivant. Et quand on aime, on l'est encore plus.  Chaque matin, en me levant je fais le choix d'aimer. C'est chaque jour différent, un peu plus fort, un peu plus beau.

Aujourd'hui, je crois que je n'ai pas fini avec les choix...

Bref. Vivre, c'est choisir, et je me sens en vie :)

mardi 14 février 2012

Mon amour...

Toujours sur l'idée d' Emi'lit dans les champs, un texte à contrainte. Une lettre d'amour, avec 6 mots imposés...


Après des kilomètres de vie à ne penser qu'à moi, un certain 12 juin... tout s'est inversé.
Et même si je devais devenir amnésique il est une âme que je ne saurais oublier...

Tout simplement parce que...
A chaque battement de ton coeur, c'est le mien qui résonne.
A chaque sourire sur tes lèvres, c'est une promesse de bonheur qui fleurit dans mon coeur.
Dans tes yeux qui regardent le monde, c'est la fenêtre de mon avenir qui s'ouvre un peu plus.
Avec toi je redécouvre le monde, dans le partage. M'asseoir cinq minutes sur le banc au bord du ruisseau et regarder les libellules se poser sur ton petit nez...
Eclater de rire quand tu te couvres le visage de prune et que tu deviens, l'espace d'un instant, une petite peau-rouge.
Faire de la salle de bain une piscine juste pour que ton rire résonne.
Dormir sur le sol pour t'écouter respirer et apaiser mes peurs.
Savoir lâcher ta main pour que tu trouves ton autonomie ; savoir la tenir quand tu en as besoin.

Parce qu'une journée sans t'avoir vue sourire, c'est triste.
Parce que vivre pour toi, c'est ma plus belle responsabilité ; vivre avec toi mon plus beau cadeau.
Parce que ton rire est la plus belle des musiques.
Parce que "maman" dans ta bouche est le plus beau des mots.
Parce que je suis si fière de ce que nous créons ensemble...

Ma princesse, Arwen... je t'aime.

dimanche 12 février 2012

8 mois et demi...

8 mois et demi à la fabriquer tout doucement, à la modeler dans la douceur de mon ventre rond comme un ballon.

Une grossesse comme sûrement pleins d'autres ... ou presque.



Je voulais en enfant. Depuis longtemps, presque toujours. Je pensais que j'étais née pour devenir mère et que rien ne pourrait m'en empêcher.
Alors j'ai choisi. Je trouvais que ma situation se prêtait bien à l'arrivée d'un enfant. Je me sentais prête à devenir mère et je me disais que l'homme avec qui je vivais depuis 4 ans ferait un bon papa. J'étais sûre de ça. Je touchais du doigt mon équilibre, je venais de me marier et je me suis lancée dans l'aventure...

D'abord il y a eu cette première déception, ce minuscule petit embryon qui avait pris sa place pendant notre voyage au Québec, puis qui n'a pas aimé revenir en France...il voulait être québécois cet enfant-là et jamais je ne le connaîtrais.

Un mois plus tard, c'était Petite Elfe qui posait ses valises dans mon une pièce tout confort. Je l'ai su très vite, avant de faire pipi sur mes doigts ce bâton de plastique qui tenait mon avenir entre ses bandes. J'étais tellement heureuse, je passais mon temps à tripoter ce ventre tout plat et à lui parler. Je voulais que son papa lui parle, lui fasse des bisous. Je voulais que la Terre entière sache que j'attendais un enfant dans le secret de mes entrailles. Pendant quelques temps, tout au moins.

Très vite, j'ai été barbouillée  malade comme un chien . Ca passera après les trois mois, tu verras, qu'ils disaient. Les cons. J'ai dégueulé tripes et boyaux vomi pendant 8 mois en tout. Jusqu'à 6 fois par jour, le bonheur absolu, quoi.
Puis un jour, à la fin de ma grossesse, une sage femme m'a dit (elle a pas demandé hein, elle a affirmé) que ça se passait pas bien avec le papa. Elle a dit que c'était pareil pour toutes les femmes si malades pendant leur grossesse. Elle a dit quelques mots et mon cœur a chaviré. J'avais mené ma grossesse presque à terme et à cet  instant précis j'ai regardé en arrière.

Et j'ai compris.

J'ai réalisé que le papa de Petite Elfe faisait comme si elle n'existait pas, qu'il ne lui parlait pas et encore moins la touchait. Et que du coup, je ne m'étais pas autorisée cela, juste "en cachette". Oh oui, c'était inconscient mais ça fait mal quand même. Encore plus mal, d'ailleurs. Je n'ai jamais su demander pardon à ma fille. Pardon pour tout l'amour caché au fond de mon cœur que je ne lui ai pas donné.

J'ai vu l'achat de la maison, tous les cartons que j'ai soigneusement emballés et portés à travers la maison.

J'ai vu mon sourire forcé quand les copines me racontaient que depuis qu'elles étaient enceintes, leur mec leur interdisait de porter des trucs, faire le ménage et tout et tout. J'avais envie de les étrangler.

J'ai vu la chambre, que ma maman a tapissé pour sa petite fille. Pendant qu'avec amour je découpais des bulles de papier peint dont j'ai parsemé les murs et le plafond. Le petit lit que j'ai peint avec tout mon amour.

J'ai vu le déménagement et mes larmes de fatigue et de colère. Mon envie de tout envoyer valser.

J'ai vu la muraille d'amour que j'avais dressée autour de Petite Elfe et moi, dans notre intimité à DEUX. Cette muraille que je n'ai jamais brisée et dont je n'ai pas souvent donné les clés.

J'ai vu beaucoup de colère dans ma grossesse, des déceptions terribles et de l'angoisse. J'ai vu ma peur de perdre cet enfant qui ne m'a pas quittée jusqu'à son premier souffle.

J'ai vu ce que j'espérais tant ne pas voir. Ce sur quoi j'ai fermé les yeux, que j'ai enfoui au fond de moi.

Cela fait 20 mois que ma grossesse a pris fin. Que ma vie se construit autour de Petite Elfe. Que je grandis et que, peu à peu, j'écris notre histoire.

Et quelques temps que je me dis que... dans le futur, quelques années peut-être...j'aurai à nouveau envie de porter la vie. Pour d'autres raisons. Différemment. Dans une immense bulle d'amour.

Pardon.



jeudi 2 février 2012

ENFIN un geste écolo chez moi!

Ouf! Merci à toi, Bonnie de vivre notre vie!

Et voilà...j'avais découvert cette action il y a déjà quatre mois mais nulle novice...je n'avais pas réussi à insérer le logo. Voilà qui est chose faite!

Je suis donc, vous l'avez compris depuis longtemps, plutôt écolo dans ma vie de tous les jours.
Attention! Je ne suis pas une écolo pure et dure non plus... je n'en ai, entre autre, pas toujours les moyens (par exemple, j'adorerais vivre dans une maison autonome, avec une éolienne dans la cour, des panneaux solaires sur ma toiture végétalisée et tout et tout...) ni toujours le temps (j'avoue... je travaille et j'ai un enfant, un mari et une maison à gérer et des fois je n'ai pas 40 minutes devant moi pour aller à la boucherie à pieds et-honte à moi- je prends ma voiture).

Bref. Un jour, je vous ferai un petit billet sur mes gestes écolos au quotidien. Genre sur comment je récupère l'eau de mon sèche-linge (oui, j'avoue que j'ai un sèche-linge), ou sur mon compost. Ou bien mes noix de lavages. Enfin bref.
En attendant, je fais un petit pas pour l'homme et un grand pas pour l'humanité en participant à l'action "petits gestes écolos pour un million d'arbres".
Mais keskecé?

Le principe est tout simple, il suffit de placer le badge sur votre blog et ensuite, un arbre sera planté grâce à cette minuscule initiative de rien du tout qui prendra 5 minutes et fera, un tout petit peu plus, respirer notre planète. Parce qu'elle en a bien besoin dame Terre, si on veut qu'elle reste vivable pour nos enfants et les enfants de nos enfants et... toute la suite aussi. Puis moi, j'aime les arbres, je trouve ça apaisant et fascinant aussi, de par toute la vie qui y grouille. Voilà voilà...

Donc, si vous aussi vous avez envie de participer à cette initiative, filez donc ici : http://www.bonial.fr/environnement/blog-neutre-en-carbone/je-veux-participer/     et en avant!!!